Habiter ou voyager dans un autre pays peut se révéler parfois angoissant, notamment à cause des non-moins célèbres clichés. Ces derniers véhiculent de nombreuses rumeurs ou informations sur le mode de vie, les coutumes ou l’attitude d’une population, qui ne sont pas toujours vrais.

Voici donc trois clichés expliqués sur les français.

1. Les français ne se lavent pas

L’origine de ce stéréotype remonterait à l’époque du roi Louis XIV. A cette époque, la science était considérée comme une hérésie et la médecine pas très au point. Les médecins ayant accusés l’eau de véhiculer des maladies, les nobles et les courtisans qui composaient la cour du roi, ne se lavaient donc pas et masquaient leurs odeurs par l’utilisation excessive de parfum, ceci ne faisant qu’empirer la situation.

Malgré les siècles qui ont passé et l’amélioration de notre hygiène de vie, ce cliché reste d’actualité. En cause notamment, les toilettes des brasseries, restaurants et métros dont l’hygiène répugne les touristes.

2. Le français n’est jamais content

Vu de l’étranger, la France est considérée comme un pays de râleurs, jamais satisfait et toujours en grève. Zoé, originaire du Sud de la France, se souvient lors d’un séjour linguistique, avoir reconnu son quartier sur une photo illustrant un article paru dans le Washington Post, qui relatait des manifestations en France.
Le cliché du français jamais content, trouve son origine dans l’histoire de France, tout d’abord lors de la Révolution française, lorsque le Tiers État (classe majoritaire du peuple) s’est révolté contrôle système monarchique, puis lors des nombreuses révoltes qui ont éclaté par la suite.

Enfin, une étude réalisée en 2009 par TNS Infratest pour Expédia (étude réalisée auprès de 15000 hôtels européen) révèle que les français sont les pires touristes au niveau européen: peu enclins à apprendre d’autres langues, impolis,…

3. Les françaises ne s’épilent pas

Ce cliché circule depuis la seconde guerre mondiale. Durant cette période sombre de l’histoire, la France était sous l’occupation de L’Allemagne nazi. En temps de rationnement et de combat, on peut penser à juste raison que les françaises avaient d’autres préoccupations que de s’épiler.